Rox et le stagiaire

Il est tard, Vendredi soir, il n’y a quasiment plus personne dans le cabinet comptable. Il ne reste plus que moi et le stagiaire qui est resté aider parce qu’il avait pris beaucoup de retard cette semaine. Mon stagiaire sort de l’école de commerce, 19 ans, c’est un petit blond aux yeux bleus, les cheveux courts et de petites lèvres.

Je finissais quelques dossiers quand une envie de pisser devenait trop pressente. Je file aux chiottes et me vide dans l’urinoir de droite. Je suis dans mes pensées quand soudain le stagiaire entre dans les toilettes en étant surpris de me voir. Il se place devant l’urinoir du milieu et ouvre son pantalon pour pisser à son tour.

Je tente de regarder du coin de l’œil son matériel mais visiblement il est assez petit car rien ne dépasse.

Une fois fini je me lave les mains et repars dans mon bureau.

Passé 19h, le stagiaire me ramène les fiches qu’il devait ranger et trébuche à l’entrée de mon bureau pour se retrouver par terre. Une fois de plus, tout son travail se retrouve en bazar. Je suis très énervé car en tant que Manager de la boîte, je suis aussi responsable de ses conneries.

Pendant qu’il ramassait ses feuilles par terre, je me lève de mon bureau, le saisi par la chemise et plaque son ventre contre la table de réunion.

« J’en ai vraiment marre de tes conneries. Je t’ai pris pour faire plaisir à ton père mais tu me fais perdre beaucoup de temps »

Mon paquet plaqué contre son cul serré, un choc électrique vient de parcourir mon corps. Cela fait déjà une semaine que mon mec est parti en vacances et je n’ai pas baisé ni joui depuis.

Ni une ni deux, je descends violemment son pantalon ainsi que son boxer et le maintien de tout mon poids contre la table. De mon autre main je défais mon pantalon et on se retrouve tous les deux notre futal aux chevilles. Le stagiaire commence à s’agiter et à appeler à l’aide tandis que je plaque son visage contre la table.

De violentes images me traversent la tête. Je crache dans ma main et lubrifie son trou imberbe avec mon index. Je viens de m’enfermer dans ma bulle, je ne l’entends plus.

Une fois bien ouvert, je rentre ma grosse bite dans son petit trou. Il est très serré, surement à cause de la panique. Il continue à s’agiter et je lubrifie à nouveau ma queue. Mes 18 cm rentrent entièrement dans son cul. Dans cette position, j’ai qu’une idée en tête, baiser sa prostate.

Je me mets alors à faire de longs va et vient brutaux, je sens que je tape cette petite graine de plaisir et je m’aperçois qu’il commence à ressentir du plaisir car il s’agite moins. Pire, je commence à entendre des gémissements étouffés. Il ne m’en faut pas plus pour sortir mon côté bestial.

Je sors de son cul, le retourne et le fait monter sur la table, sur le dos, jambes écartées. Je vois qu’il bande dur à cause du traitement que je lui ai fait sur sa prostate.

Je le rattrape, lui lève le bassin et j’enfourne complètement ma queue épaisse dans son cul. Dans cette position, j’ai un accès direct à sa prostate et je vois que mon stagiaire grimace à cause de toutes ces émotions.

Après plusieurs minutes à labourer son petit cul, je sens que la prostate de mon stagiaire se contracte et je tape de plus en plus fort pour que cette boule explose, et lui provoque une énorme éjaculation. Plusieurs jets sortent et arrivent même à son menton. Je prends son jus avec mes doigts et lui fourre directement au fond de la bouche.

Mes doigts callés dans la gueule de mon stagiaire et ma queue toujours au chaud, je continue encore pendant cinq bonnes minutes à détruire le petit derrière de mon stagiaire quand plusieurs jets inondent son cul. Plus d’une semaine de jus tapissent ses entrailles.

Je me retire dans un flop, et me rhabille. Je reprends mon souffle pendant que mon stagiaire reprend ses esprits.

Je l’ai forcé à aimer ce que je lui ai fait subir.

Il est 20h sur mon pc, je lui dis qu’on va partir. Lui, toujours allongé sur la table et le cul à l’air, me regarde l’air toujours choqué de ce qui venait de se passer. Il se met donc à se rhabiller.

J’éteins les lumières, les pc. Je ferme les armoires, met le code de l’alarme et ont sors tous les deux. Dans l’ascenseur, mon stagiaire fuit mon regard. Arrivé au rez-de-chaussée, je le plaque contre la grosse porte et l’embrasse. Mon stagiaire est resté immobile jusqu’à ce que je sente sa langue tourner aussi dans ma bouche. Je tâte son paquet et il est dur. Le salaud, il en veut encore !