Rox au camping avec son cousin

La nuit tombait sur le camping, les arbres et les bungalows s’effaçaient doucement dans l’obscurité. La tente, située au bord du lac, tremblait à cause du vent. Rox, dix-neuf ans, poilu et musclé, s’était installé sur son sac de couchage, une lampe torche allumée. À ses côtés, son cousin Léo, un an plus âgé, étirait ses longues jambes. Les deux garçons, complices depuis l’enfance, partageaient une complicité qui oscillait entre taquinerie et tendresse.

L’air était lourd, chargé d’une chaleur d’été qui collait à la peau. Rox, torse nu, laissa échapper un soupir en s’adossant à son sac. « On dirait un sauna ici, » plaisanta-t-il, sa voix teintée d’une pointe de provocation. Léo, un sourire en coin, releva les yeux de son livre. « T’as qu’à arrêter de bouger, tu fais monter la température ! » Leurs regards se croisèrent, et un éclat de malice passa entre eux, comme une étincelle dans l’air.

Le silence s’installa, seulement troublé par les grillons et le bruit de l’eau. Léo posa son livre, ses doigts frôlant accidentellement la main de Rox en se penchant pour attraper une bouteille d’eau. Ce contact fit frissonner Rox. Il ne bougea pas, mais son souffle s’accéléra. Léo, comme s’il avait senti ce trouble, s’arrêta, ses yeux cherchant ceux de son cousin dans la pénombre. « T’as froid ? » demanda-t-il, un sourcil levé, feignant l’innocence. Rox ricana doucement. « Non, idiot. C’est toi qui fais n’importe quoi. »

Mais l’atmosphère avait changé. Quelque chose d’invisible, de palpable, s’était glissé entre eux. Léo s’approcha, s’asseyant plus près, son genou effleurant la cuisse de Rox. Aucun des deux ne recula. La lampe torche vacilla, plongeant la tente dans une semi-obscurité. « Rox, » murmura Léo, sa voix plus grave, presque hésitante. « T’as déjà pensé à… nous ? » Le mot flotta, chargé d’une question qu’aucun n’avait jamais osé poser.

Rox sentit son cœur cogner dans sa poitrine. Il tourna la tête, son visage à quelques centimètres de celui de Léo. Leurs souffles se mêlèrent, tièdes, dans l’espace étroit. « Peut-être, » répondit-il, sa voix tremblante mais honnête. Il tendit la main, ses doigts effleurant la mâchoire de Léo, traçant une ligne douce jusqu’à son cou. Léo ferma les yeux un instant, comme s’il savourait ce contact, puis posa sa main sur celle de Rox, la retenant contre sa peau.

La tente semblait rétrécir autour d’eux, le monde extérieur s’effaçant. Leurs lèvres se frôlèrent, hésitantes, avant de se rencontrer dans un baiser lent, presque timide, mais qui s’embrasa vite. Les mains de Léo glissèrent sur les épaules de Rox, explorant avec une curiosité mêlée de révérence. Rox, le souffle court, répondit en attirant son cousin plus près, leurs corps se pressant dans la chaleur de la nuit.

Ils s’écartèrent finalement, les joues rosies, les regards brillants. « On est fous, » murmura Rox, un sourire nerveux aux lèvres. Léo rit doucement, ses doigts entrelacés avec ceux de son cousin. « Peut-être. Mais ça fait du bien, non ? » Ils restèrent là, allongés côte à côte, leurs mains liées, les paquets collés entre eux.

« Désolé… je suis trop excité. Je crois que je dois me branler… » dit Léo,

Enfin, Rox avait la possibilité de voir son cousin nu. Il a alors dit « Moi aussi, je suis chaud. »

Les deux cousins ont repoussé les duvets et Léo s’est mis à genou. Rox a alors remarqué le corps athlétique de son cousin, des poils fins parcourant son torse jusqu’à finir à son pubis. Léo souriait, gêné. Ouah ! Rox était impressionné ! Léo avait une grosse bite, bien dure, bien droite. Son prépuce recouvrait la moitié de son gland. Ses couilles étaient grosses et pendantes, assez velues. Son pubis était recouvert de poils châtain foncé, épais et frisés.

Léo est alors venu vers Rox, et il a observé la queue bien dure de Rox qui qui faisait 18 cm. Rox est très velu sur le pubis et sur les couilles, une bonne touffe bien virile mais bien entretenue à la tondeuse. Léo se place au dessus de Rox et demande « Je peux te branler ? »

Rox était totalement excité… et il fait simplement oui de la tête. Rox a alors fermé les yeux quand Léo s’est emparé de sa teub d’une main. De l’autre, Léo s’est mis à caresser le torse musclé, poilu et en sueur de Rox. Ce dernier sentait la queue de Léo tendue contre la jambe de Rox… et les doigts de Rox ont glissé dans sa direction et ont saisie ce membre. Quelle superbe sensation de sentir la queue de son cousin dans sa main. Léo a tiré le prépuce de Rox vers le bas… et il s’est mis à déposer des baisers sur son gland. Sans pouvoir se contrôler, Rox s’est mis à gémir fort. Il n’a pas été long avant de jouir. De nombreuses giclées puissantes sont sorties de sa bite ! Rox n’avait jamais eu un tel orgasme ! Au moins 5 jets ont atterri sur son visage. Léo a continué de branler Rox jusqu’à ce que sa queue ramollisse. « C’était trop bon », a dis Rox.

Léo s’est alors penché sur Rox et il se sont embrassé. Rox dit « A toi, maintenant ».

Rox a alors pris sa bite en main. Une magnifique sensation. Elle était dure comme de la pierre. Rox a fait glisser son prépuce et a vu que son gland était mouillé. Il avait pas mal de precum. Rox a alors enfoncé sa bite dans sa bouche et Rox a commencé à le sucer. Le precum coulait sur sa langue. Il avait un goût salé. Rox l’a sucé pendant 4 minutes jusqu’à ce que Léo dise « Je vais jouir… »

Rox a eu à peine le temps de retirer sa queue de sa bouche qu’il recevait 2 giclées dans la figure. Surpris, Rox a lâché la teub qui a juté le reste sur le ventre de Rox. Les deux cousins ont repris leurs bites en main et ils ont continué à se branler. Léo ne s’arrêtait pas d’éjaculer. Au bout de quelques secondes, leurs queues s’étaient calmées et Rox a observé son ventre, recouvert de sperme. Rox s’est alors amusé à frotter le jus sur son corps. Léo a embrassé Rox en disant « C’était génial ! »