Rox sortait de la salle de bain, le torse encore humide et la peau encore chaude, les gouttes d’eau glissant de son cou jusqu’à son pubis pour s’écraser à ses pieds. Il se préparait pour rejoindre ses amis dans le Sud, et devait prendre le train de nuit reliant Paris à Toulouse. Cela faisait longtemps que Rox n’avait pas pris de vacances et ce mois de Juin, il compte bien en profiter sur la plage et en terrasse.
Il était 22h quand Rox commençait à préparer sa valise, y mettant débardeur, short, jockstrap et cho7 kinky. La paire de TN sera déjà à ses pieds, et quelques jouets finissent par garnir le haut du sac. La trousse de toilette est rangée sur le côté, et les accessoires pratiques pour le train sont rangés dans l’autre poche du sac.
Pour s’habiller pour le train, Rox opte pour un short noir, un t-shirt de sport bien moulant et un slip Addicted pour avoir un bulge et un boule bien mis en valeur. Rox ne loupe jamais une occasion. Une fois la barbe et les poils secs, Rox enfile le tout en se matant dans le miroir.
Rox devait partir maximum à 22h30 pour être tranquille et en avance pour s’installer dans le train. Après avoir fini de préparer ses affaires, Rox constate qu’il a encore 15 minutes de rab, il en profite pour scroller sur les réseaux sociaux, tout en se paluchant le paquet. Au bout de 5 minutes, Rox devient dur et est très excité, il descend alors son short et son caleçon sur ses chevilles. Une idée lui traverse l’esprit, sur le coup de l’excitation, il veut faire le trajet en métro et le train de nuit avec un plug. Au pire, Rox pourra toujours le retirer une fois installé dans le train dans les toilettes. Rox regarde l’heure avant de se décider, il lui reste 7 minutes. Il se dépêche d’aller chercher son jouet dans la salle de bain, pour commencer à le lubrifier et à commencer à l’insérer. Rox y va tranquillement, et ça le fait bander immédiatement. Rox gémi et fait quelques aller-retour afin de rendre l’insertion plus facile et agréable.
Une fois le jouet installé, Rox se regarde dans le miroir, le cul rempli et une gaule monstrueuse. Rox a été gâté par la nature, une queue épaisse qui fait 18X5.
22h35, il est l’heure de décoller, Rox remet son caleçon, son short, son sac, ses clefs et file prendre le métro. Sur le trajet, les mouvements de marche font vibrer le plug à l’intérieur, ce qui maintien Rox dans un état d’excitation. Une fois dans le métro, Rox reste débout, il y a beaucoup de monde. Rox à l’impression que tout le monde le regarde, un plaisir « interdit » lui procurant quelques hallucinations auditives. Rox arrive à la gare Paris Austerlitz, en avance comme prévu.
Son train est à 23h18, il n’est pas encore annoncé. Rox se met dans un coin de la gare et allumé la fameuse application Orange et Noire, espérant croiser quelqu’un en coup de vent avant d’attraper son train. Rox se caresse discrètement le paquet en sentant son plug tenter de sortir ou de remonter. Comme une évidence, Rox ne réussi à attraper personne, et une fois le quai affiché, Rox se met en direction de son train pour s’installer.
Nous ne sommes pas encore en période estivale, et le train semble ne pas être très rempli. Rox monte à sa voiture et cherche sa place. Après quelques mètres, Rox trouve sa cabine et pose son sac au pied d’une banquette déjà dépliée. Rox a choisi la banquette du bas à droite, plus pratique pour se lever en pleine nuit pour aller aux toilettes. Il déballe quelques affaires pour s’occuper durant le trajet et file regarder dehors sur le quai s’il y a encore beaucoup de monde restant à monter.
Quelques minutes avant le départ, Rox est toujours seul dans la cabine, et est content de pouvoir avoir cet espace pour lui tout seul, il s’imagine déjà se foutre à poil.
Au moment où le train part, Rox est allongé sur son lit, scrollant les réseaux sociaux et se caresse discrètement le short, ne souhaitant pas être surpris par le contrôleur. D’ailleurs, ce dernier ne tarde pas à arriver 15 minutes après le départ du train. Rox lui tend son billet et le contrôleur indique à Rox qu’il peut fermer sa cabine car il ne repassera plus d’ici l’arrivée. Aussitôt dit, aussitôt fait, Rox ferme la porte de la cabine pour être tranquille. En effet, il y a beaucoup moins de bruit une fois la porte fermée.
Seul, Rox retire son t-shirt. Les tétons durs, Rox les pince légèrement lui arrachant un gémissement. C’est à ce moment précis, qu’avec une main sur sa bosse et l’autre pinçant son téton droit que la porte s’ouvre. Rox se remet tout de suite en place et un homme d’une trentaine d’année entre avec une très grosse valise. Le gars retire son casque et n’a visiblement pas remarqué le petit manège de Rox tellement il était encombré. Rox le salue et lui dis que pour l’instant, ils sont deux.
Le train de nuit filait à travers la campagne, la nuit a pris place dans le ciel. Dans le compartiment éclairé par une lumière tamisée, cet inconnu, la trentaine, châtain, chemise blanche manche courte, légèrement ouverte faisant dépasser ses poils du torse. Il avait un short également, qui lui arrivait juste au-dessus des genoux exhibant fièrement ses jambes puissantes et velues, était plongé dans un vieux roman de gare. Rox, lui, fixait son compagnon de cabine avec un regard perçant, checkant discrètement du contenu hot sur son téléphone, le boxer de Rox semblait être très tendu. L’air semblait chargé d’une tension discrète, comme si le tremblement du train faisait rétrécir la cabine.
Dehors, on voyait les étoiles, et le compartiment, isolé du reste du wagon, semblait être un endroit à part. L’inconnu releva les yeux, croisant par hasard le regard de Rox qui lui offrit un sourire léger, presque involontaire. « Difficile de lire avec ce balancement, non ? » lança Rox, sa voix teintée d’une pointe d’amusement. L’inconnu rit doucement, refermant son livre. « C’est plus le bruit des pages qui me distrait. Et vous, que lisez-vous sur votre téléphone ? »
Rox haussa un sourcil, posant son téléphone. « Oh l’actualité, mon programme pour les vacances… Rien d’extraordinaire. » Mais son regard semblait dire autre chose. Le silence s’installa, seulement troublé par le bruit du train. Rox sentit une chaleur monter en lui, inexplicable, comme si la proximité avec l’homme l’attirait.
Le train fit une légère secousse, et la main de l’homme se retient sur le genou de Rox. Il retira sa main en caressant les poils de Rox, lui donnant la chair de poule. Rox retient son souffle, ses tétons pointent et sa queue durcit. L’homme demande à Rox, en se pencha légèrement en avant « Vous voyagez souvent seul ? ». Rox tremble d’excitation, un sourire timide aux lèvres. « Parfois. Et vous ? » L’homme haussa les épaules, un geste nonchalant mais calculé. « Toujours. Mais ce soir, c’est différent. »
L’atmosphère était brulante, le compartiment était devenu une sorte de chambre ou l’un l’autre s’était invités. Rox tendit la main pour attraper une bouteille d’eau, ses doigts effleurant la jambe velue de l’homme. Ce contact, électrique, rendait Rox encore plus chaud et encore plus dur. Il releva les yeux, trouvant l’homme plus proche. L’homme se pencha, son souffle tiède frôlant la joue de Rox. « Tu permets ? » chuchota-t-il, et Rox, le cœur battant, hocha la tête. Leurs lèvres se rencontrèrent, hésitantes d’abord, puis plus assurées, dans un baiser explosif, décontenu et fou. Les mains de Rox glissèrent doucement sur les épaules de l’homme, tandis que ce dernier posa une main sur la nuque de Rox, ses doigts s’enfonçant dans ses cheveux.