Aujourd’hui c’est le 18 Septembre, jour de grève national. Tous les journaux et toutes les télés anticipaient un mouvement très suivi, avec des prévisions catastrophiques pour les transports parisiens. Malheureusement, Rox devait se rendre au travail car son patron n’a pas accepté le télétravail. C’est donc avec dépit que Rox se leva ce Jeudi matin, s’habilla en mettant chemise, pantalon chino et veste de costard, et file au travail.
Rox se précipita vers la station de métro 13, espérant désespérément attraper son métro en pleine journée de grève. Habillé d’un costard impeccable, il était prêt à affronter une journée de travail intense. Après 45 minutes d’attente interminable, un métro finit par arriver. La porte s’ouvrit, mais personne ne sort, l’intérieur de la rame est bondé. Rox se fraya un chemin à l’intérieur, se pressant contre les passagers pour trouver une place.
À l’instant où les portes du métro se refermaient, un homme à la peau foncée type arabe surgit, sautant dans le wagon in extremis. Il poussa les passagers sans s’excuser, se retrouvant collé contre Rox, qui ne pouvait plus bouger. L’homme, vêtu d’un débardeur et d’un jogging, portait des TN. Il était musclé et faisait au moins 1m90. Son regard était intense, presque menaçant, et il semblait indifférent au malaise qu’il causait.
Au moment où le métro démarra, l’homme leva le bras pour s’accrocher à une barre disponible. Rox, juste en dessous, se retrouva le nez presque dans l’aisselle de l’homme. L’odeur, un mélange de douche et de sueur matinale, devint de plus en plus prégnante. Il faisait chaud dans le métro, et à chaque arrêt, les passagers avaient du mal à sortir et à entrer, augmentant encore la promiscuité. Rox, coincé à sa place, devait attendre jusqu’à la station Invalides là où il travaille.
L’odeur de l’aisselle de l’homme arabe devint de plus en plus forte à mesure que le métro avançait. À un moment, l’homme répondit à un appel téléphonique, parlant fort. Les muscles de son cou se contractaient à chaque phrase, et Rox, incapable de comprendre la langue, se sentait de plus en plus mal à l’aise. Les mouvements du métro le collaient encore plus contre cet homme, rendant la situation presque insoutenable.
Soudain, Rox perdit l’équilibre et se retint au jogging de l’arabe. L’homme le dévisagea, l’engueula et le menaça en arabe. Rox s’excusa immédiatement, essayant de se dégager.
Au fil du trajet, qui semblait interminable, Rox sentit son excitation monter. L’odeur de l’aisselle de l’homme arabe, maintenant très forte, le troublait profondément. À cause des mouvements du métro, son nez tomba dans l’aisselle de l’homme. Rox tenta de se dégager, mais l’homme arabe le retint, lui chuchotant à l’oreille qu’il devait aimer ça, et qu’il devait s’occuper de lui. Personne dans le métro ne sembla remarquer ce qui se passait, laissant Rox dans un état de confusion et d’excitation mêlées.
Rox avait à présent son nez plaqué contre l’aisselle du mec et il inspirait délicatement, l’odeur était forte, une odeur de l’orient mêlé à une virilité et une surcharge de testostérone.
L’arabe demande à Rox à quelle station il devait descendre, et Rox lui répondit qu’il devait descendre à Invalides. Le mec dit à Rox qu’ils vont faire une pause à la station suivante. Rox est mélangé entre stress, panique et excitation. Il ne connait pas le mec et il lui demande de le suivre. Rox est déjà en retard à cause des transports.
Arrivé à la station Champs Elysées Clemenceau, le mec arabe sort en attrapant Rox par sa veste. Rox suit le mec, tout le monde remonte par les escalators alors que lui se dirige un peu plus loin. Arrivé au bout du couloir, le mec arabe s’engouffre dans un petit local dont la porte est éventrée, en dessous des escalators. Le local est délabré, comme si c’était un endroit où dorment les clochards la nuit.
« Tu veux essayer quelque chose de nouveau ? » murmura l’arabe, avec des yeux de tueur.
Rox, intrigué et un peu nerveux, hocha la tête docilement. L’arabe se rapprocha, son souffle chaud sur le cou de Rox. « Je veux que tu me suces, » dit-il d’une voix sèche et autoritaire.
Rox, excité par cette demande directe, s’agenouilla et commença à baisser le jogging de l’arabe. En quelques instants, il avait libéré son membre durci, prêt pour lui. Rox prit une profonde inspiration avant de le prendre dans sa bouche, sentant l’excitation monter en lui.
L’arabe, satisfait, passa sa main sur la nuque de Rox, le guidant dans ses mouvements. « Maintenant, déshabille-toi la pute, » ordonna-t-il, sa voix toujours aussi autoritaire.
Rox, bien que stressé, obéit. Il se leva et se déshabilla lentement, se retrouvant nu dans le couloir du métro. L’arabe admira comment Rox obéit si bien, il cracha par terre.
« Tu fais salope comme ça, » crie-t-il avant de se placer derrière Rox. « Maintenant, à genoux. »
Rox s’agenouilla à nouveau, prêt à continuer. L’arabe, toujours derrière lui, sortit son membre et commença à se masturber. Soudain, il se pencha en avant et pissa dans la bouche de Rox, qui avala chaque goutte, sentant le liquide chaud descendre dans sa gorge.
L’arabe, satisfait, se remit à se masturber plus vigoureusement, jusqu’à ce qu’il jouisse dans la bouche de Rox, qui avala tout. L’arabe, essoufflé, se releva et remit son pantalon, un sourire satisfait aux lèvres.
« Sale pute va, que je ne te croise plus dans le métro sale batard, » dit-il en menaçant Rox avant de s’éloigner, laissant Rox seul par terre.
Rox, encore excité, se masturba rapidement, sentant la tension monter en lui jusqu’à ce qu’il jouisse sur le sol. Il se rhabilla, le cœur battant. Une fois avoir joui, Rox regrette tout ce qui vient de se passer, et à une boule au ventre.