Rox sur l’aire d’autoroute

La chaleur de l’après-midi pesait sur l’autoroute déserte, l’air vibrant d’une énergie presque palpable. Rox, après des heures de conduite, avait décidé de s’arrêter sur une aire d’autoroute isolée, loin des regards et du tumulte de la route principale. Il gara sa voiture sous l’ombre d’un grand chêne, là où le soleil semblait jouer à cache-cache avec les feuilles.

Il sortit de la voiture, sentant déjà la chaleur caresser sa peau, et décida que c’était le moment parfait pour se détendre un peu. Il ôta sa chemise, révélant un torse velu et puissant, et laissa son short glisser jusqu’à ses pieds avant de s’en débarrasser. En jockstrap, il s’aventura un peu plus loin, là où le soleil dessinait des motifs dorés sur l’herbe.

Trouvant un coin tranquille, il étendit une serviette qu’il avait prévoyamment apportée. L’aire d’autoroute était presque déserte, le silence uniquement brisé par le chant lointain des oiseaux et le murmure du vent dans les arbres. Rox s’allongea sur la serviette, sentant chaque muscle de son corps se relâcher sous les rayons bienfaisants du soleil.

La sensation de la chaleur sur sa peau était exquise, presque sensuelle. Chaque souffle de vent apportait un soulagement temporaire, faisant frissonner sa peau, jouant avec ses poils. Il ferma les yeux, laissant le soleil et la nature faire leur œuvre. Sa respiration devint plus profonde, plus lente, se synchronisant avec la tranquillité ambiante.

Rox se caresse le cou et la nuque avec ses mains, les effluves émanant de ses aisselles l’enivrent, et ses doigts glissent petit à petit le long de son torse. Il fait le tour de ses tétons tout en ondulant le bassin. Toujours les yeux fermés, il se saisi d’un téton qu’il pince fort, pendant que son autre main se saisit de l’énorme bosse qui s’est formée dans son jockstrap.

Cette situation est formidable, la chaleur gonfle dans le ventre de Rox, et fait glisser son jockstrap de long de ses jambes velues pour se palucher tranquillement, toujours en se caressant le corps. Il porte deux doigts à sa bouche pour se caresser l’entrée de son anus. La sensation est électrique.

Rox ouvre les yeux et son regard tombe dans les yeux de son voyeur, qui n’est autre qu’un routier barbu, bien foutu, avec sa veste en cuir et son pantalon en jean.

« Alors comme ça on se fait plaisir à poil sur les aires d’autoroute ? » clame-t-il.

Rox, un peu honteux d’avoir été surpris, devient rouge, mais la situation dans laquelle il se trouve l’excite beaucoup et sa bite n’a pas perdu en dureté. Rox tente de se relever maladroitement. Son voyeur pose une main sur son épaule, alors que Rox levait la tête, il déboutonne son jean.

« Tu vas t’occuper de moi petite salope » insulte-t-il son nouveau partenaire de jeu.

Rox est surpris et n’a pas décroché un mot depuis son apparition. Il décide alors d’aider son ami à baisser son jean pour plaquer son nez contre ce boxer plein d’odeur. Rox continu de se branler, à genou, en plein milieu du bois de l’aire d’autoroute, pendant qu’il passe sa langue le long du tissu qui se tend de plus en plus.

« Je suis tombé sur un bon petit batard à bite. Tu vas me pomper jusqu’au jus toi ! » insiste le voyeur, sur un ton très dur.

Le vocabulaire de son partenaire excite Rox, qui aime beaucoup être mis à cette place-là.

Rox sort la queue du boxer du routier pour la mettre directement en bouche. Rox savoure le goût salé de la queue qui devait ne pas avoir été sortie depuis la prise de route du routier.

Rox s’applique, il tourne sa langue autour du gros gland et entend son voyeur gémir de plaisir.

« Putain tu suces comme une vraie pute. Dommage que je n’aie pas plus de temps, je me serais fait sucer pendant des heures. Vas-y enfonce bien ma queue au fond de ta gorge de pute » grogna-t-il.

Rox enfonce ce qu’il peut de l’énorme queue du voyeur, dans sa gorge. Le bout du gland tape la luette de Rox et les contractions de la gorge donne de la puissance au routier. Dans un dernier râle, le routier se cale bien au fond de la gorge de Rox, l’étouffant, et lui rempli la gorge de plusieurs jets bien épais et crémeux. Rox commence à manquer d’air, se débat, et soudainement est relâché. Les yeux rouges et humides, Rox reçois le reste du jus de son routier sur la gueule.

« Ahhhhhh … voilà tout sur la gueule ! » gueule le routier.

Rox se lèche les lèvres afin de récupérer les dernières gouttes.

Le routier reprend ses esprits, égoutte sa queue au-dessus du corps nu de Rox, et lance « maintenant branle toi je veux que tu jouisses en ayant été souillé par mon jus, je veux que tu culpabilise après avoir joui ».

Rox commence à se branler frénétiquement, le fait d’avoir été utilisé de la sorte le rend fou, et en quelques secondes, la jouissance arrive. Les joues rouges, le souffle court et tremblant, Rox joui de longs jets qui atterrissent sur son corps nu.

Le routier en profite pour prendre en photo Rox, qui reprend tout doucement ses esprits. L’excitation fait place à la honte et à la culpabilité.

« Maintenant que tu n’es plus excité, regarde ce que je fais avec tes affaires » dis le routier, toujours sa queue à l’air. Le routier commence à pisser sur les fringues de Rox. Il arrose tout, le jockstrap, le short, le t-shirt, même les clefs de voiture et son portable.

« Tu va sentir mon odeur jusqu’à la fin de ton trajet » s’amuse le routier.

Rox, humilié et énervé, prend ses affaires mouillées et tente de les mettre pour revenir à sa voiture sans être à poil. Il remonte dans sa voiture, ça empeste la pisse. Rox se remet à bander tandis qu’il quitte l’air et croise le regard du routier, qui lui fait un clin d’œil.